Ce livre autobiographique nous fait découvrir un enfant qui se trouve dans un orphelinat (Rubiel Andrès Gomez) et qui a été adopté le 9 septembre 1991. Il est alors appelé Vincent Lahouze par sa famille d’adoption.
L’auteur décrit vraiment tout ce qui traverse l’esprit des personnages (sentiments, réactions…). Il raconte son histoire après son adoption et imagine sa vie s’il était resté Rubiel, c’est à dire s’il n’avait pas été adopté et s’il vivait en Colombie. Je n’ai pas aimé ce livre car il y avait beaucoup trop de descriptions, on passe sans cesse de son imagination à la réalité. Je me suis perdue dans la lecture. Les phrases sont longues. Par moment, les mots sont durs, tranchants. Peut être que si je le relis plus tard, je m’y intéresserai davantage. Je conseillerais ce livre aux lecteurs qui sont patients, qui prennent le temps de voir évoluer un personnage et qui acceptent de l’entendre penser.
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