BUG est une BD de Enki Bilal racontant l’histoire de la chute de l’humanité après un bug causant la disparition de l’ensemble des sources numériques de la surface de la Terre, le monde est donc paralysé. Les autorités découvrent que le seul survivant d’un équipage rentré d’une mission sur Mars est habité par un alien qui a accès à toutes les données perdues.
Ce qui m'a plu dans cette BD c’est avant tout l’histoire qui est originale et qui quelque part nous touche un peu car aujourd’hui les appareils électroniques accompagnent notre quotidien. Enki Bilal nous fait donc une hypothèse en inventant la réaction des humains suite à un arrêt brutal des appareils numériques. Quelque part, je pense qu’il dénonce l’impact qu’a la numérisation du monde sur nous. Malheureusement pour moi je n’apprécie pas beaucoup le style de dessin, froid, de Enki Bilal, ce qui pour un lecteur de BD est très important. J'ai quand même fini le livre pensant connaitre la fin mais là aussi, j'ai été déçu que BUG soit en plusieurs volumes. Cette BD raconte, la fin d’internet puis d’électricité dans le monde, ce qui crée un conflit planétaire.
L’histoire se passe sur plusieurs continents de la Terre mais aussi dans l’espace, en 2041. On suit un héros nommé Kameron OBB et une héroïne nommée Junia Perth en personnage secondaire. J’ai adoré les déplacements et les contraintes dans l’espace et sur Terre, mais aussi la tâche bleue sur l’œil gauche de Kameron OBB, qui m’a vraiment intrigué. J’ai été déçu par les dessins qui ne m’ont pas plu car ils faisaient trop « esquissés ». Les dessins m’aident habituellement à comprendre le texte et là ça n’a pas été le cas. Je voudrais conseiller ce livre à tout ceux qui aiment l’aventure : ce livre bouge beaucoup. Si je devais qualifier ce livre en un mot, j’utiliserais le mot « mystère ». J’ai lu le livre « BUG » qui est une BD sur un drame du futur , il n’y a plus d’électricité dans le monde.
J’ai trouvé que Bug est un livre racontant une histoire très intéressante car l’Homme utilisera de plus en plus l’électricité et internet dans l’avenir. De plus , cette situation pourrait nous arriver dans moins d’un siècle. C’est une anticipation réaliste finalement. Je trouve que Enki Bilal a une manière très floue d’écrire ses livres car l’on ne comprend pas certains détails tout de suite donc il faut accepter de revenir en arrière dans le livre. Je trouve les dessins assez réussis car le contraste est certes trop sombre mais les dessins sont assez réalistes . Pour conclure, j’ai trouvé le livre assez bien même si je n’aime pas vraiment la façon dont est racontée l’histoire. C’est une BD qui parle d’un énorme bug informatique mondial, toutes les données numériques ont disparu.
La BD parle aussi d’un astronaute, Kameron OBB qui, sans que personne ne sache pourquoi, possède dans sa mémoire toutes les connaissances perdues. Il va être recherché partout dans le monde car, malgré lui, il sait tout. Les images sont froides et il y a beaucoup de noir dans les dessins. L’histoire est mystérieuse, l’auteur laisse souvent planer l’incertitude. J’ai été surprise car l’histoire est captivante mais je n’ai pas aimé la façon de dessiner. Dans un avenir proche, en une fraction de seconde, le monde numérique disparaît, comme aspiré par une force indicible. Un homme, seul, malgré lui, se retrouve dans une tourmente planétaire. 2041: la totalité des données numériques mondiales disparaissent alors qu'une énergie inconnue se déchaîne sur la face sombre de la lune et que Obb est sur le point de rentrer sur Terre après un voyage sur Mars d'où il revient lesté d'un "bug" qui a investi son organisme, mais semble-t-il aussi de toutes les données disparues...
Achetez ce livre ! L’histoire est palpitante et fascinante, en plus elle est assez courte. Il y a une bonne intrigue et une touche de science-fiction dans un futur proche !De plus, les illustrations sont magnifiques et bien détaillées, Bilal Enki est un grand dessinateur et est aussi réputé pour cela. Entre observation géopolitique, critique sociale et aventure pure, Bilal nous embarque dans une aventure numérique et bouleversante, je le recommande à ceux qui n’aiment pas les gros livres et ceux qui préfèrent les BD ! Nasro, 2nde9 Le jeudi 13 décembre 2041, la Terre est confrontée au plus gros BUG informatique de son histoire : tous les disques durs sont vides et les liens ont disparu ! C’est un raz-de-marée informatique ! Enki Bilal, dans son œuvre, nous montre à quel point une seule panne informatique peut entraîner des catastrophes en chaîne. Le côté cataclysmique de cette bande dessinée plaira forcément aux incontestables fans de revues de Science Fiction d’autant plus que les lieux et les accidents que le Bug Numérique Généralisé (BNG) entraîne dans ce récit peuvent s’avérer vrais. D’autre part les irréductibles admirateurs de romans et films de l’ordre héroïque pourront facilement s’identifier dans le personnage de Kameron Obb, un spationaute de la station spatiale internationale, seul rescapé de l’attaque de corps étrangers parmi ses sept collègues. Ce livre est très remarquable dans la mesure où Enki Bilal utilise un vocabulaire qui peut être compliqué, mais l’histoire en elle-même et le contexte plus généralement rend tout de même le livre très abordable. J’ai bien aimé la structure bidimensionnelle, le contraste entre les événements se passant sur Terre et dans la station spatiale internationale, même si des lecteurs débutants peuvent facilement se perdre car les éléments de liaison entre ses deux lieux ne sont pas toujours très explicites. J’ai beaucoup apprécié le personnage de Kameron Obb dans ce récit : il a pour moi de réelles similitudes avec les héros de la saga Marvel. De plus, l’illustrateur met ce personnage en valeur par la force avec laquelle il le dessine, le bleu qu’il utilise sur le visage du protagoniste amplifie son héroïsme et sa solidité psychologique. En conclusion, ce récit est en mon avis indispensable pour le développement de la force mentale. C’est pour cela que je conseille de lire ce livre à tous les jeunes sportifs... La critique d'Elodie, 2nde7, Lycée Bellevue En 2041 dans un monde dominé par la technologie, un bug ce produit. La panique se répand sur toute la planète, seul un astronaute est peut être le seul espoir de la planète.
BUG est une BD qui date de 2017, c’est le Tome 1 donc on peut s’attendre à une suite. Je pense que ce livre nous permet de voir pourquoi la technologie ne peut pas être que bénéfique mais aussi dangereuse. C’est pour ça aussi que cette BD m’a beaucoup plue car le fait de voir ce que nous pourrions perdre comme connaissance avec autant de technologie nous fait vite voir la technologie d’un autre œil. Bug est comme une réalité virtuelle de notre monde dans plusieurs années, un avant-goût d’un monde dépendant de l’intelligence virtuelle qui s’arrête de tourner, si une seule faille vient à apparaître dans le système. Je pense que les moments les plus choquants dans Bug sont par exemple : le suicide des jeunes filles à cause du bug mais plus encore leurs lettres de suicide illisibles tant elles ne savent plus écrire ; ou bien encore les gens qui sont comme des zombies restant immobiles, sans dormir, sans manger, sans parler. Mais il y a plus troublant encore, ce sont les gens qui meurent à cause du bug car ils ont des implants ou ceux qui se faisaient opérer car les médecins ne sont plus des vrais médecins, ils ne détiennent plus aucune connaissance en médecine ce sont les robots qui opèrent. Je trouve assez amusant le fait que grâce au bug, il n’y ait plus que les personnes âgées qui possèdent le savoir, les connaissances dans certains domaine, et que l’on fassent appel à eux comme ultime recourt. Par exemple, un homme est sauvé par un docteur de 72 ans lors d’une opération ce qui est justement impressionnant car c’est normalement la jeunesse qui prend la relève, mais là c’est l’inverse qui se produit, on fait appel aux personnes âgées. Les points négatifs de BUG, ce sont par exemple la mise en page car quand on lit le livre et que l’on suit une discussion soudain à la vignette suivante on voit qu’elle est toute colorée ; puis on comprend par la suite qu'il s'agit d'un journal ; mais ça peut dérouter le lecteur. En conclusion, BUG est une bonne BD que j’ai beaucoup aimé. Bug informatique empêchant les appareils électroniques de fonctionner.
Universalité du propos. Garantie d’être absorbé par l’histoire. Époustouflés par l’originalité de la thématique. Né le 7 octobre 1951 à Belgrade. Kyrielle de suicides suite au BUG. Illimité au niveau de l’action. BILAL est un réalisateur, dessinateur et scénariste de bande dessinée français. Immersion dans l’histoire. Laisse le monde sans internet. Artiste du XXIe siècle. La fin laisse le lecteur incertain. |
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