Les oiseaux ne se retournent pas - Nadia Nakhlé
Dessin et critique de Valentin - S07, Lycée Rascol
Abécédaire par Hévana, 2nde 5 Lycée Bellevue
abécédaire_hévana.pdf |
Acrostiche par Lea Castellani, Lysa Francque, Tyah Rey, 2de MBB, Lycée Toulouse-Lautrec
les_oiseaux_ne_se_retournent_pas_léa_lysa_tyah_2de_mbb_toulouse-lautrec.pdf |
Affiche, par Lou D-W, 2nde2, Lycée Lapérouse
Critique Audio par Clara G, Nisrine M // 2nde 2 - Lycée Lapérouse
les_oiseauxne_se_retournent_pas_grech_clara_mahir_nisrine.mp3 |
Critique de Hugo B, 2nde4, Lycée Lapérouse
Les oiseaux ne se retournent pas est un roman illustré qui raconte le chemin d’une jeune fille nommée Amel qui, par la faute de la guerre dans son pays, est obligée de le fuir. Elle laisse derrière elle toute sa vie mais aussi ses grands-parents, elle commence donc son chemin avec une famille voisine avec laquelle elle a passé de bons moments, et tous ensemble se dirigent vers Paris. Or dès le premier obstacle Amel, la jeune fille, est séparée de ses voisins et se retrouve toute seule dans un camp, elle y passe plusieurs jours en attendant la famille avec laquelle elle est arrivée, sauf que jamais elle ne les reverra ; elle comprend à ce moment à quel point arriver à Paris sera difficile. Par chance dans ce même camp elle croise un ex militaire qui fuit la férocité de la guerre et le danger des attaques pour commencer une vie en tant que musicien. C’est à ce moment-là que le véritable chemin d’Amel commence, mais je ne vous en dis pas plus, je vous laisse le découvrir par vous-même.
Le livre de Nadia Naklhé est en noir est blanc ce qui rajoute de la tristesse qui est nuancée pas des éléments colorés qui apparaissent au fil de l’histoire : ils sont donc mis en valeur par du rouge, du bleu, ou de l'orange, des couleurs qui attirent l'attention du lecteur et animent les images. Les dessins sont impressionnants, ils sont très souvent sombres mais expriment beaucoup de choses, dans son roman.
Nadia Naklhé parle de la liberté avec une métaphore de l’oiseau qui est constamment présente dans l’œuvre, la subconscience d’Amel est d’ailleurs une immense volière dans laquelle se trouve une multitude d’oiseaux lui indiquant la voie, la direction dans laquelle elle doit aller afin d’avoir la vie qu’elle veut au plus profond d’elle-même. Je vous conseille vivement ce livre. En plus de posséder une histoire incroyable, il est agréable à lire à regarder et est vraiment passionnant. On voit la migration du point de vue d’une jeune fille et non d’un adulte. Pour Amel c’est un voyage, un rêve à atteindre, une nécessité face à la mort que cause la guerre dans son pays d’origine.
J’aimerais finir sur le une citation de Farid al-don Attâr qui dit
« rien n’est jamais fermé, sinon à tes propres yeux. »
Le livre de Nadia Naklhé est en noir est blanc ce qui rajoute de la tristesse qui est nuancée pas des éléments colorés qui apparaissent au fil de l’histoire : ils sont donc mis en valeur par du rouge, du bleu, ou de l'orange, des couleurs qui attirent l'attention du lecteur et animent les images. Les dessins sont impressionnants, ils sont très souvent sombres mais expriment beaucoup de choses, dans son roman.
Nadia Naklhé parle de la liberté avec une métaphore de l’oiseau qui est constamment présente dans l’œuvre, la subconscience d’Amel est d’ailleurs une immense volière dans laquelle se trouve une multitude d’oiseaux lui indiquant la voie, la direction dans laquelle elle doit aller afin d’avoir la vie qu’elle veut au plus profond d’elle-même. Je vous conseille vivement ce livre. En plus de posséder une histoire incroyable, il est agréable à lire à regarder et est vraiment passionnant. On voit la migration du point de vue d’une jeune fille et non d’un adulte. Pour Amel c’est un voyage, un rêve à atteindre, une nécessité face à la mort que cause la guerre dans son pays d’origine.
J’aimerais finir sur le une citation de Farid al-don Attâr qui dit
« rien n’est jamais fermé, sinon à tes propres yeux. »